La saison two de Titans terminée, DC Universe présente Harley Quinn, une série animée particulièrement jouissive et pertinente.
Excédée d’être reléguée à son statut de copine du Joker, Harley Quinn cherche son émancipation en se frayant un chemin à coups de batte. Après le désastre Suicide Squad, un cinema d’animation avec Batman et avant un standalone avec ses copines, la fameuse cinglée de Gotham second’en revient avec une série animée flambant neuve made inwards DC Universe, génialement cintrée.
Créée par Bruce Timm dans le meilleur dessin animé du monde, comprendre Batman The Animated Series, Harley Quinn revient à son médium master dans ce format animé qui lui va comme un gant. Surtout que les influences de ses diverses apparitions, dessinées ou interprétées par Margot Robbie, transparaissent dans cette nouvelle itération de la vilaine consequence de 50’univers DC Comics. Ajoutez à cela des références à la pelle, un casting vocal exceptionnel et un traitement graphique dément et on pourrait obtenir le meilleur show de DC Universe.
Harleen Quinzel vs the World
Développée par Justin Halpern, Patrick Schumacker (pas le réalisateur de Batman & Robin) et Dean Lorey, la série animée revient donc sur cette bonne vieille Harley Quinn, fatiguée d’être bernée et enfermée dans l’ombre de boy Mister J, en lorgnant du côté du génial Mad Love, la violence visuelle en plus. Car si tout le monde considère le brave « Pudding » comme un véritable méchant, elle n’est guère considérée que comme un sidekick, le dear-involvement du Clown Prince du Crime. Mais tout va changer sous 50’influence de Poison Ivy et de différents criminels de Arkham qui tente d’ouvrir les yeux à fifty’ancienne psychologue devenue psychopathe.
Ainsi le demonstrate suggest un bel hommage à tout le bestiaire de supers vilains de Gotham, du Riddler à Killer Croc, tout le monde est là pour plébisciter la décision d’indépendance de Harley. Laquelle n’est pas en reste avec différentes références à ses précédentes adaptations, de 50’iconique costume d’Harlequin aux couettes rouge et bleu de Margot Robbie. Quant aux figures héroïques, Gordon et Batman sont évidemment caricaturés pour tomber dans le stéréotype de 50’alcoolique usé pour fifty’un et du stoïque laconique pour fifty’autre. De belles innovations narratives pour head peindre en seulement 20 minutes (mind espérons un feuilleton plus qu’une série bouclée) une plongée dans les affres amoureuses et psychologiques de la summation folle des Gotham City Sirens, dont on ne peut que valider fifty’affiliation.
Enfin, comment savourer pleinement cette perle sans reconnaître la voix nasillarde mais parfaite de Kaley Cuoco qui double ainsi une Harley Quinn aussi attendrissante que cintrée du bocal. Lake Bell donne de la voix à Poison Ivy quand c’est l’excellent Alan Tudyk qui double le Joker d’une voix tellement folle qu’il en ferait presque de 50’ombre à Mark Hamill. Mais tout ce swain monde ne suffit pas à faire la strength de cette série animée qui réside avant tout dans boy traitement graphique Rated-r. Particulièrement fierce et sanglant, à l’animation soignée et parfaitement lisible, le cartoon déjanté est juste démentiel. Le sang gicle, les corps fondent dans l’acide, ou la Margarita, et les bone craquent pour offrir aux bad guys leur heure de gloire et à Harleen Quinzel, la home qu’elle mérite, au eye de fifty’écran.